Femmes que j’aime
Treize nouvelles, graves ou légères, courtes tranches de vie dont ces Femmes que j’aime sont les héroïnes ou les inspiratrices. Au fil des pages on croise Baudelaire, Virginia Woolf et l’Antigone de jean Anouilh mais aussi des hommes et des femmes ordinaires confrontés aux problèmes et aux bonheurs de l’existence : La violence des hommes, celle de la nature, la poésie d’un ciel étoilé ou d’un modeste jardin, l’amour, le désir, la violence… tout ce dont notre vie est faite.
Extrait :
« Tu sais, tout le monde ne meurt pas d’amour ! Heureusement nous ne sommes pas toutes des héroïnes de Tolstoi et les ruptures ne conduisent pas obligatoirement les femmes sous les trains. Bien sûr que tu as aimé… et tu aimeras encore, pour peu que tu t’en donnes la peine. Mais secoue toi un peu, il faut aider le destin… »